Comment voudriez vous mourir, si vous pouviez choisir ?

Juste une petite question, pas grand chose...

On m'a demandé "Si vous deviez choisir la manière vous aimeriez mourir, quelle serait-elle ?"
Je sais bien que la question n'est pas forcément intéressante mais à y réfléchir je crois qu'elle reflète quand même un peu la personnalité de chacun.

J'ai répondu sans vraiment réfléchir "Je voudrais mourir d'amour". (attention pas d'un orgasme comme dans un livre de B. Werber je ne sais plus lequel mais d'amour, en fait mourir à cause de mon amour pour quelqu'un)

Et vous quelle serait votre mort idéale ?

J'aimerais mourrir dans mon sommeil, partir comme ça doucement sans rien sentir, dans mon lit, sans doute de vieillesse, ou du moins dans un age suffisament avancé où j'aurais réussit à faire le plus de chose que je voulais..

A vrai dire, je m'en fou un peu, parce que vu que je saurais mort, ça ne me concernera que très peu, en somme
Barf, une jolie mort, pour frapper les esprits, histoire de... Une mort fun, genre, noyé dans un pot de nutella géant !

ah ouais pas maaaal, noyé dans du nutella....

Non en fait, c'était juste pour dire : une fois mort, ma mort ne me concernera plus, donc, quel que soit la façon, le résultat sera le même : un amas de chair en putréfaction, même pas bouffable. Que du gâchis. Donc, qu'importe la mort en fait ? La façon ne change rien, c'est comme savoir si on bois la bière directement à la canette ou dans un verre : ça dépend de l'ambiance, et de la marque, mais au final, tu la bois quand même

Oui j'ai compris ton point de vue, je sais très bien qu'au final c'est la même chose et que de toute façon on ne choisit pas mais je trouve ça assez ironique de se poser la question et puis cela peut donner des idées de mort originales...ou très très stupide....

Eryanis a écrit:

On m'a demandé "Si vous deviez choisir la manière vous aimeriez mourir, quelle serait-elle ?"

(...) J'ai répondu sans vraiment réfléchir "Je voudrais mourir d'amour". (attention pas d'un orgasme comme dans un livre de B. Werber je ne sais plus lequel mais d'amour, en fait mourir à cause de mon amour pour quelqu'un)

Toi, on va te confisquer tes albums de HIM

Mourrir avec Honneur

Je ne mourais que lorsque j'aurais accomple se que pourquoi je suis. Bien que j'ignore en quoi cela consiste pour l'instant...

( aucun sens religieux , n'esseyer pas de comprendre de toute façon c'est inutile...)

En me battant, je crois...
Lui donner un peu de fil a retorde a cette s...pe .
Bref, même si je mourrais surement seul et resigné... Dans l'idéal, c'est mieux de partir sans se rendre...

Ah ! Mais je ne veux pas mourir, moi. Et puisque j'y suis oblige : je voudrai mourir par bombe....rapide, efficace, indolore mais peu probable. Donc je voudrai mourir dans mon sommeil.

Selon moi, une des plus belle mort possible consiste probablement à celle dont un peu avoir un minimum de contrôle ( Suis-je pour l’euthanasie et le suicide assisté ? À vous de deviner ! ). Ma hantise, c’est de mourir dans un accident d’automobile ou quelque chose du genre, un mort brusque ou je ne pus réaliser mes dernières volonté avant de trépasser. Mourir de maladie après une longue et interminable agonie, c’est un peu mieux, au moins, tu peux prévoir un peu le départ… mais bon, ma mort idéale : celle que je pourrais décider moindrement. Voici quelques hypothèses qui me traversèrent l’esprit, mais je vous préviens, à lire ses propos, peut-être me prendrez vous pour un pur détraqué…

Je ne sais pourquoi, mais l’idée de mourir sous les balles me plait bien. J’aimerais bien mourir en héros, au combat, participer à des opérations suicides et risquer ma vie pour les honneurs, mourir après avoir mitrailler l’ennemi et m’effondrer au sol, mourir en vrai homme, mourir dans la gloire après avoir prouvez ma puissance, ma fougue, mon courage, bref, mourir en guerrier ! ( ouais… je crois le perso de mon roman à influencer ma vision de la mort, moi qui dénigrais tout ce qu’il y avait de militaire il y a moins de deux ans…) Donc : le jour ou je m’inscrirai dans les forces armées pour partir à l’étranger… vous pourrez commencez à vous inquiétez pour moi ! C’est d’ailleurs cette idée de risquer de perdre ma vie qui m’empêche de joindre les troupes je crois, je suis encore jeune et j’ai trop de chose à voir et à accomplir avant de risquer ma seule et unique vie. Certes, mourir en guerrier est peut-être la mort la plus belle à laquelle j’eus pensé… et peut-être celle que je me souhaite le plus.

Il y a autres façons de mourir sous les balles : s’arranger pour être mitrailler par autrui, par la police par exemple. Mourir en ange de la mort en emportant le plus d’âme lors de son envol, une mort de pure vengeance, de haine. Entrer en un lieu public, armé , et tirer sur les innocents jusqu’à ce que l’on décide d’abattre le désespéré, celui qui jamais ne pus trouver son bonheur en subissant les multiples tortures que pu lui faire la société et qui, en un seul instant, extériorise cette indicible rage qu’il accumula au fil des ans. J’imagine mourir en encourageant les autres à nous tuer parce que l’on constitue une menace, parce que plus personne ne veut de nous, mourir en immonde personnage qui ne méritait plus la vie… s’effondrant au sol en laissant comme dernières paroles quelque chose du genre : « Allez ! Tuez moi ! Jamais vous ne m’avez aimé ! Immonde société ! Jamais vous n’avez pu m’accepter, toujours vous m’avez torturé et là, vous êtes rendus à m’abattre ! Finalement, vous avez exprimer votre haine envers moi, je m’envole, je vous soulage de ma nuisible et insignifiante présence qui n’était plus digne d’être à vos yeux. ». Bref, une mort de monstre immonde que tous détestaient, mais derrière qui se terrait une âme torturée et incomprise qui ne demandait qu’aide sans jamais oser en demander, un appui en monde qui lui fut si cruel.

Finalement, peut-être est-ce plus simple et plus direct de manier nous même le fusil, le placer sur ses tempes et de tirer sur la gâchette après avoir écrit mon dernier texte, ma lettre de suicide. Mourir dans l’ultime tristesse, la plus grande solitude, clore nous même la tragédie que fus notre vie, mourir dans le paroxysme de la détresse, l’extérioriser sur quelques page avant de quitter… jamais je n’ai lu la moindre lettre de suicide ( heureusement peut-être !) mais j’imagine tellement l’intensité qui peut s’y trouver, la profondeur, saisir la lettre et sombrer dans les profondeur de la tristesse et de l’accablement à chacun de mots que l’on y lit. Je m’imagine, écrire cette lettre, seul, laissant mes larmes s’écrouler sur le papier sur lequel je fais mes adieux à ceux qui peut-être m’eurent aimé et finalement me lever, prendre l’arme, placer les balles, et , dans un geste porteur de l’ultime désespoir, tirer sur la gâchette et faire voler ma tête en mille morceaux, m’écroulant au sol, ma carcasse baignant en mon sang, lettre en main. En cette mort, j’y vois la plus grande intensité, l’essence même de la tristesse, de la solitude, du désespoir, un coté tragique des plus fascinants… mais aussi des plus troublants.

Et puis, vous avez survécus ? Ouais, plutôt profond ce que je viens d’écrire… je devrais bien écrire des textes pour tenter de me figurer chacune des morts ici énoncée… mais, si vous vous inquiétez un peu, je vous rassure, je vais très bien et j’ai trop de chose encore à faire et à connaître avant de songer à l’un de ces scénarios !

Je voudrais mourir...foudroyé en pleine gloire, d'une mort noble. Une mort qui serait belle, digne. Sur la scène de ma vie, en fait. Par exemple, si je fais de la politique, j'aimerais bien être...assassiné, par exemple. Ou ce genre de choses. Ma plus grande hantise est d'avoir une mort ridicule, comme m'étouffer en avanlant une balle de jokari, et surtout de me noyer.

Bref, j'aimerais, si possible, mourir l'arme à la main, la plume à l'autre.

j'aimerais avoir une mort mémorable et je suis certaine qu'elle le sera. Ce sera lors de mon dernier combat, sur la "colline merveilleuse" (le plus bel endroit que je connaisse) après avoir vangé les gens que j'aimai de mon pire énnemi. Mon but sera acompli et je n'aurais plus rien à faire sur cette planette de m*rde donc je me donnerais la mort en me jettant dans le précipice "darkness"
jparie que personne ne connait

Alors, à/pour ceux qui rêvent d'une mort au champ d'honneur, tombé en imbécile plutôt qu'en héros sous les balles ennemies, je vous raconterai que pour avoir été volontaire au combat, etc, etc , après avoir signé tous les papiers m'engageant à partir dans les premières troupes, etc, etc ( ah l'administration et surtout militaire même... ), prêt à sacrifier ainsi ma vie imbécile après la clichesque rupture amoureuse qui me vit m'engager dans la Navy ( bon, la Marine Nationale française, quoi ) plutôt que prévu ( faut dire que j'avais bien foiré mes études à coté de ça aussi ), et bien soit j'ai été un chanceux, soit un malchanceux selon votre point de vue préféré... car le feu nourri des combats aujourd'hui est réservé aux productions cinématographiques ou aux véritables forces d'intervention voire nos Légionnaires ( véritables préparateurs de terrain, avant même les forces marines et autres commandos-marines ) avant que tout combat officiel ne soit engagé et qu'une fois que vous vous y retrouvez dans cette merde de conflit, c'est plutôt des balles perdues ou traçantes tirées par un sniper terré qui vont vous laisser des traces si ce n'est pas vous ouvrir les portes de l'enfer.
Il est bien loin le temps des mitraillages sous les hurlements de son leader d'escouade qui pouvaient en voir un se sacrifier pour sauver tous les autres. Du moins en ce qui concerne les corps militaires français, me semble-t'il.
Arrêtez donc de vous passer en boucle la mort de Dafoe dans "PLATOON"...

Maintenant en ce qui concerne ma mort, je crois que puisque je l'ai déjà choisie une fois mais que l'intervention de pompiers et médécins urgentistes m'en a ramené, je suis tel John Constantine destiné à nourrir le feu infernal ( dis donc, qu'est-ce que je me retrouve à aborder des sujets à connations infernales en ce moment sur ce fourm !! ) après une longue maladie qui s'appelle la vie et dans laquelle je mords tel le ver pourri d'une pomme en attendant l'heure et le lieu qui m'ont été choisi... plutôt que de reessayer de les choisir moi-même...

Effectivement Saulz maintenant je te prend pour un détraqué, mais cela ne peut que te faire monter dans mon estime, j'ai tendance à apprécier les détraqués
Je trouve ça plutôt marrants, ce sont des gens très prévisibles et en même temps imprévisibles...


(et puis heartagram tu risques d'avoir du mal à confisquer mes albums de Him puisque la seule chanson de ce groupe que j'ai sur mon pc c'est (The Vampire) )

Hi hi

Que ce soit sans douleur, sans peur et sans prévenir, que je ne soit ni trop jeune ni trop vielle.

Heu... tout d'abord, sincèrement désolé pour ma longue absence, j'ai quitté les fils de la toile pendant quelques temps... M'enfin, je crois que ce qui me fait sourire maintenant, c'est que le premier message que je poste à mon retour est un message sur la mort XD

Mourir, c'est beau, c'est laid, c'est ridicule et grandiose !

Pour ce qui me concerne, j'aimerais mourir dans les bras d'une femme, partir sans remords avec pour dernière image une idylle à mes côtés... Ou bien encore mourir dans un dernier combat, partir avec les honneurs...

Voila, c'est classique, mais on ne peut être toujours original

~ Blacker Angel ~

@Eryanis : Merchi ! Peut-être est-ce cette once de folie qui plane en moi qui fait mon charme ? Quel plaisir de monter dans l'estime d'autrui !

Quoi, on ne peut guère mourir en héros en lutte contre l'ennemi !? À quoi bon vivre si on ne peut mourrir comme on le souhaite ! En ce qui concerne les forces armées, il est vrai que selon ce que l'on entend aux nouvelles, les soldats canadiens qui perdirent la vie en Afganistan trépassèrent en plus grand nombre à cause des américains que par des attaques terroristes... Et puis merde, si je veux périr sous les balles de l'ennemis en voulant défendre certains honneurs, je m'acheterai un jeu vidéo de tirs et le ferai virtuellement !

Plus sérieusement, il vrai que j'aurais souhaiter mourir en héros de guerre, mais peut-être plus en par le bien de combats à l'épée... je ne suis guère à la bonne époque. Bha ! Au moins ça m'inspire lors de l'écriture de combat médiéval... Mais pour ma mort, je me contenterai bien de celle que l'on m'assigna. Certes, je préfèrerais un peu avoir une ombre de contrôle sur ma mort, histoire de me préparer au grand départ. Partir brisquement sans avoir pu terminer les nombreux projets que J'entrepris, sans avoir dit adieu à ceux que j'aime, là est la cause de ma peur face à la mort... et je ne détesterais pas pouvoir l'atténuer moindrement un jour.

Voilà une question que je me suis pas mal posé?
Mourrire sens regrais sent personne qui me regrétte. Mourrire sent douleur, sent peure.

Sans faiblir face à la douleur, en faisant un maximum de dégats à ceux qui auraient voulu écourter la vie de ceux auxquels je tiens. Non ce n'est pas très terrestre tout ça... et alors, j'ai déjà expérimenté certaines limites de la résistance psychologique face à la douleur et à l'effort. Je ne triompherai pas parce que je suis meilleur, mais à l'usure, en encaissant sans fléchir, avant de rendre gorge.

Plus vraissemblablement d'un accident de la route, à vélo, écrasé par un chauffard

Mourir...
En effet quelle hantise que les morts idiotes...

J'ai des idées, suicide ou assassinat, le dernier instant de la vie restant désespéré et profond...
La strangulation me plait bien, les mains d'un homme ou d'un femme, de l'Aimé ou l'Aimée... Il faudrait aussi le cadre de la chambre rouge où s'étaient passé quelques actes de désirs pervers, nos corps nus.
Poignardée, voir le sang coulé, ce sang que j'ai tant hai, ce sang qui fait ma faiblesse, ce sang qui me fait peur. Mais les assassinats m'inspirent une certaine jeunesse alors que je voudrais profiter de la vie.
Pour le suicide je ne sais pas, je me verrais bien sauter d'une falaise, ressentir le grand vide, vieille, comme ce que j'ai, un jour, écrit. Ou la noyade, l'eau c'est beau, ça m'emplit.

Kirjava a écrit:

Pour le suicide je ne sais pas, je me verrais bien sauter d'une falaise, ressentir le grand vide, vieille, comme ce que j'ai, un jour, écrit. Ou la noyade, l'eau c'est beau, ça m'emplit.

C'est une mort que je me vois bien avoir aussi, affaibli psychiquement par le poid de l'âge, un mari mort, un suicide, une falaise c'est beau.

J'aimerai mourir noyer, on est calme, on respire parnature, l'eau arrive dans les poumons, coma, et on meurt doucement au fils du courant..

Je ne suis pas du tout d'accord, quand on meurt noyé on panique...
même lorsque c'est un suicide...car le fait de sentir la mort arriver fait paniquer d'instinct même lorsque la mort est désirée...

Cela me fait un peu penser à la personne qui saute... trois seconde...
1 je vais mourir 2 je ne veut plus 3 panique 4 mort