Après la mort...?

Vous croyez a une vie après la mort ?
Et a une mort après la vie après la mort ?
A la réincarnation ?

Vous croyez en l'âme ?

Ce qui me fait penser... (j'ai bien le droit de faire du hors-topic, c'est mon topic !) Récemment, j'ai lu un extrait d'une interview du réalisateur de The Grudge, et il disait qu'au japon, les histoires de diable et de sorcières, cela ne leur faisait pour ainsi pas peur , cela ne leur parlait pas... Question de culture ? Ce qui leur faisait peur, c'est les fantômes, les âmes qui n'ont pu achever, accomplir quelque chose, et, qui, frustrées, furieuses, écumait de rage et ne pouvait trouver la paix. C'est con, mais je comprends. Au Japon, l'encadrement, la société, les règles sont beaucoup beaucoup plus stricte. (Quoique que, cela se relâche dernièrement...) Les "crises d'adolescence" que font la plupart des occidentaux, ils n'ont pas le droit de se la permettre avant... Plus de 20 ans ! Et quand ils peuvent se la permettre ! Pas étonnant que ce pays connaisse le plus haut taux de suicide...

Et pour vous, c'est quoi le sens de la vie ?

Alors je repondrais pas au sondage puisque comme nous tous, je ne sais pas ce qu'il y a après la vie. Au pire on peut dire ce qu'on veut. Ce qui nous plait. Style le paradis, la reincarnation, la walhalla,...

Après, je ne pense pas que l'existence de l'ame ait un lien direct. De toute façon, depuis Descartes, on ne peut plus nier l'existence de l'ame. Mais l'ame... est-ce qu'elle existe avant et après la vie ?... Parce que si on dit qu'elle existe après la mort, alors ça vuet dire que les ames n'ont pas besoin de corps pour etre. Alors pourquoi existeraient-elles après mais pas avant la mort ? Elles sont créées à la naissances les ames ? C'est la mere qui les pond ?

Bouarf, sinon, je suis plus stoicien dans mon approche de la mort. Ca n'a aucune raison de m'affecter. Mort, pas mort, c'est pareil. Je ne perd rien...
Je l'attend la mort. Ca repondra, ou pas, a enormement de questions que je me pose du style, qu'il y a-t-il après la mort, y a-t-il un dieu ? Quelle est la vraie religion ? Disons que je suis pour la mort

j'ai tické la deuxième option, en espérant que ce soit vrai

je ne sais pas ce qu'est exactement la mort ni l'après-mort, mais je pense que ce n'est qu'une transition

J'opte pour la première solution même s'il m'est difficilement concevable qu'une âme naisse et meurt le temps d'un vie !

J'ai voulu cocher la première, puis j'ai vu la quatrième qui est vraie aussi donc j'ai coché celle là.

Je pense un peu comme Necrolokost, je ne sais pas ce qu'il y a après et je pense que je le saurais bien assez tôt.
Et ensuite ça ne m'embêtes pas de ne pas avoir d'âme qui continues à vivre après, ça serait peut être même un fardeau car l'éternité c'est quand même pas trés drôle.
Et sinon nos proches ou même l'histoire en général nous permet d'avoir quelques restes de nous après la mort parmis les vivants.
C'est déjà beaucoup.
C'est pourquoi c'est triste de mourir jeune, car on ne laisse rien(ou presque).

Brouco a écrit:

J'opte pour la première solution même s'il m'est difficilement concevable qu'une âme naisse et meurt le temps d'un vie !

Ca ne m'était jamais venu à l'esprit mais,effectivement...tu as raison...Tout ce qui se passe dans nos petites cellules grises ou ailleurs,tout ce que l'on appelle "âme","esprit","pensée" etc...Ca ne peut pas vraiment sortir de nulle part non ? Et surtout y retourner...

Après notre hamster à nunchak' préféré, j'aurais aussi décidé de cliquer sur la première solution - peut-être en me disant que rien ne se perd...
Alors, que pourtant et par expérience ou presque pourrai-je dire, je pense ( et j'écris bien "je pense" ) savoir qu'il n'y aurait ( et l'usage du conditionnel peut se révêler important ) rien après le passage de la grande faucheuse

Oui, une fois que vous êtes monté dans la charette de l'Ankou, on pourrait presque écrire avec un humour quasi poétique que vous l'avez dans l'...
Ayant été moi-même dans un état de mort clinique ( suite à un suicide ayant échoué par l'intervention de mon amie, à l'époque, et les secours des pompiers ) nécéssitant l'usage d'électrochoc ( en plus du goudron pour me faire recracher les produits pharmaceutiques absorbés ), je ne me serais souvenu de rien à ce qu'on peut appeller mon "réveil", les douze-quinze heures suivant celui-ci n'étant qu'un brouillard le plus complet... comme cet état "critique" restant en moi un immense trou noir d'ignorance, d'oubli : le vide absolu, quoi !! Comme si ces précieuses minutes pendant lesquels les médecins sont intervenus m'avait été volé ou tout simplement effacé d'une mémoire alors H.S. Non, je n'ai pas le souvenir ( et pourtant je suis du genre à garder en mémoire plus d'un de mes rêves, nourrissant mon imaginaire et ma littérature personnelle ) d'avoir vécu une expérience "borderline" où j'aurais retrouvé des personnes disparus de mon passé, affronter denouveau des expériences passées de mon existence. Non, ça n'avait rien à voir avec l'Autre Monde visible dans le film de Joel Schumacher "L'Expérience Interdite" ( de toute façon ce n'était pas Julia Roberts qui m'attendait à mon retour ). Ni même au bateau emmenant les morts accompagnés d'un défunt de leur choix - comme dans un épisode de "Mac Gyver" : je ne reverrai pas ma mère

Et même si je veux bien croire que ce topic te soit venu DarkCowBOy, peut-être, après avoir vu "Les Noces Funèbres" de Tim Burton dans lequel le monde des morts est bien plus animé et fun que celui triste des vivants, oui, j'aimerai accepter cette idée d'une non-vie parallèle dans laquelle on pourrait s'éclater et tout et tout
Un peu comme le monde fantasmagorique du coma que proposait Selick ( adjoint du Burton précédent ) dans son "MonkeyBone"

Mais non, je vais rester terriblement réaliste et terre à terre en ( me ) disant qu'après la mort nous ne pouvons survivre que d'une manière : dans le coeur et les pensées de ceux qui nous aiment et nous aimaient de notre vivant
Les dons d'organes et autres greffes à partir de notre fraiche dépouille pouvant être un concept de se dire que nous survivrons encore quelques heures, jours, mois ou années - en partie - même dans le corps d'autrui : le malheur des uns pouvant et devant faire alors le bonheur d'autres
Enfanter peut être aussi imaginé comme une éventuelle sorte de réincarnation : l'enfant héritant d'une partie des gènes de son père et de sa mère pour exister, une partie de notre patrimoine génétique survivant donc ainsi dans un nouveau corps ( dans d'autres corps ) et allant continuer à le faire générations après générations - bien que le pourcentage de notre "être" s'amenuisant d'une génération à une autre. On peut peut-être alors se dire que même si la mort venait à nous frapper, notre existence continuera(it) tant que notre lignée continuera elle Une espèce de réincarnation génétique, sans réminiscence innée pour autant, et bien plus réelle que des rêves fous de clonage humain...

Voili voiloù...