Votre rapport a l'alcool...

Quel est votre rapport a l'alcool ?

J'ai un rapport special avec l'alcool. Disons que j'ai une consommation trés irrégulière de ce breuvage. Je bois rarement un verre pour le plaisir, comme ca. J'ai l'alcool festif. Pour moi c'est quelque chose qui se consomme dans en société. J'aurais pu peut être me qualifier d'alcoolique mondaine selon les période de ma vie. Lorsque je bois, c'est a outrance! j'aime bien l'ivresse sans pour autant aller jusqu'au malaise. J'ai passe l'age de me bourer la gueule jusqu'a m'en rendre malade et puis passer les fins de soirée en tête à tête avec un toilette c'est plutôt moyen. Ca n'a pas beaucoup de conversation un chiotte, ca reste la bouche bée...Boir même si c'est en quantité avec des amis pour faire la fête, a condition que cela ne soit pas quotidien n'est pas un problème a mon avis. L'alcool devient un problème lorsqu'on commence a se surprendre à se murger la tête seul, pour ne rien faire

Vous en avez besoin pour vous "décoincer", vous éclater ?

Comme je l'ai dit plus haut j'ai l'alcool festif. L'alcool est un des paramètres incontournables pour faire la fête. D'ailleurs j'avoue ne jamais avoir compris le slogan "sans alcool la fête est plus folle". Aprés de la a dire que c'est un besoin pour pouvoir me décoincer et m'eclater, je ne pense pas, si je suis pas a l'aise quelque part, ce n'est pas l'alcool qui va m'y aider au contraire...je vais plus psychoter qu'autre chose. Et je n'ai pas besoin non plus de ca pour m'eclater car j'ai un tas de potes et d'activités avec ses derniers ou je m'eclate et qui ne necessitent pas l'usage de la boisson.

Ça fait près de trois ans que j'ai décroché des drogues et de l'alcool et je suis très heureux, pour moi drogues et alcool c'est terminé!

Felicitations

Il y a matenant 2ans et demis j'ai perdu mon ex petit copain a qui
j'etait trés ataché il ma offret ma premiere pair de new rock^-^ c'est pas le sujet
donc quand il nous a quitté j'ai basculé dans une debauche(o ou au ??)
J'ai commencé a boire en grande quantité et Fumer et puis j'ai commencé les drogue dur , les mutiltions a repétitions et mes deux tentatives de suicide
qui n'ont jamais été plus loin que la perte de connesence (c'est dur devivre ça a 13) bref tout ça pour
dire que j'ai arrété toute les drogue sauf un join de temps en temps mais bon j'y est plus le droit mon copain me l'interdit et la j'ai plus que dininuer (c'est plus comment sa s'ecrit ??) l'acool et je pense a arrete la clope
donc dans l'ensemble je suis fier de moi car j'ai aumoin reussi sa dans ma vie


Et oui j'ai besion de boir un peu dans les fete sinon je me sens mal

Mady

c'est bien si tu t'es arrêter .

Moi euh....bah je ne suis pas une grande buveuse. De plus je n'aime pas se qui est amére ( la plupar des alcoole le sont) et je ne voie aucune reson de me forcé. Donc je goute et je boit un peut sens plus quand sa n'est pas amére ( ce qui est rare). Les gends de mon entourage ( non pas la famille) comprénne vite que je n'est pas besoin de sa pour être déchéner. Donc je refuse poliment l'alcoole qu'on me propose et ils n'insiste pas.

Voilà

Pour moi l'alcool est une boisson que 'l'on boit avec des amis, pendant le week end en communauté et rire un bon coup..
Avant je buvais mon petit porto et mo malibu tout les jours, maintenant je ne bois plus qu'avec mes amis proches ou pendant les fêtes... et puis c'est quand même bon l'alcool!!!


bisou:)

Je profite d'être totalement désinibé (y a pas un "h" quelque part ?) par l'alcool pour parler "à chaud" de ce problème. Car pour moi s'en est un.
Je me rend compte quand j'ai un peu bu (comme ce soir, par exemple), de mes problèmes réels. Je ne suis pas alcoolo-dépendant, mais je sais pouvoir le devenir rapidement.
Je profite de mon état alccololisé pour dire ce que je dis à chaque fois, que mes amis savent, mais que je n'assume que très mal quand je suis sobre : je dois arrêter de boire.
Alors je m'interroge. Pourquoi je bois ? Pour fuir. Que fuis-je ? Ma vie, sans doute, vide de sens. Mais que c'est moche. Drogue, alcool, tout cela n'est que fuite, incapacité à assumer. Mais à assumer quoi ? Je ne sais, et j'en souffre. Je suis seul. Amoureux, et heureux, tant que je suis sobre. Mais l'alcoole révèle ma vrai personnalité. Je suis malheureux, sans savoir pôurquopi.
Je suis seul.
Je l'aime puortant.
.
Arf.
Stop
On arrête les dégâts.
Et poutant...

Il faut ajouter que lorsqu'on a pris un coup dans le nez, (comme moi en ce moment, gaya), on est aussi moins performant en orthographe... (comme en témoigne ton post)

Oui, désolé. Je le sens. C'est moche, mais bon... Je sui heureux globalement. Mais bon... En plus, mon clavier décone, ça aide pas !

Pour ma part je suis à l'abri des pc de la fac en cet instant, par la même occasion des clavier qui énervent (cf les touches un peu dures de la feuille...), donc pour l'instant ça va...
il n'y a qu'un écran devant moi...

pour l'instant...

nous étions deux
L'autre ronfle maintenant.
La déprime de ceux qui tiennent est la solitude finalement.
Est-ce là la rcompense des bénis de la Sélection ?


Il est grand temps pour moi de sortir. Désolé

Je suis donc seul en ce soir de solitude alcoolique ?
Rhaaaaaa !
Faut que j'arrête.

J'ai un rapport à l'alcool..sain, dirons-nous. Par cela, je veux dire que je n'en prends qu'en de très rares occasions et toujours par petites quantités (2 verres maximum).

Je n'en ai pas besoin pour m'éclater, me décoincer. Je n'ai pas non plus besoin de drogues d'ailleurs. Je suis naturellement cinglée, constamment raide d'équerre tout en étant à jeun (ce qui trouble nos amis en bleu).

Une mésaventure avec un alcoolique...lorsque je travaillais en gare. Il voulait que je lui rembourse un billet qu'il avait utilisé (billet composté, poinçonné par le contrôleur et je venais de le voir descendre du train). J'ai donc refusé, en lui expliquant que je ne pouvais rien lui rembourser. Il s'est mis à hurler dans la gare, secouant dans tous les sens sa bouteille de scoth presque vide, puis s'est éloigné de mon guichet en furie. Il s'est ensuite retourné maladroitement. D'un geste plutôt vif pour quelqu'un dans un tel état, il a jeté la bouteille dans ma direction. Elle a littéralement explosé contre la vitre de mon guichet.

Je suis un
Et j'assume même pas.
Je fais du mal aux rares "gens" (qui n'en sont pas, comprenne qui pourra) qui compte VRAIMENT pour moi. Je pleure sur mon clavier du mal que je fais par mon incapacité à communiquer ce que vraiment je ressent...

Courage Gaya... Je suis un peu comme toi, je bois pour oublier, pour fuir.... Et je pense que par là je fuis ma vie et mes problèmes... J'ai peur de faire face et d'affronter la réalité... Et puis, comme toi je fais mal aux gens. Mal par les gestes et les paroles. Mais c'est pas réellement voulu. J'ai du mal à extérioriser mes vrais sentiments.... Mais là n'est pas le sujet... Alors courage !!! On est là pour te soutenir....

c'est vrai, courage!

Gaya a écrit:

Je suis un
Et j'assume même pas.
Je fais du mal aux rares "gens" (qui n'en sont pas, comprenne qui pourra) qui compte VRAIMENT pour moi. Je pleure sur mon clavier du mal que je fais par mon incapacité à communiquer ce que vraiment je ressent...

Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet.Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet. Tu n'est pas un boulet.
Fais gaffe au rhum, mon Damoizeau.

Gaya!

Ne ..rhô.
Toute, toute, toute mon affection! (et pas un boulet NON!)

Je ne te connait pas beaucou non plus...mais eux oui alors écoute l'es.


Il ne faut pas pensé des chose de soit comme sa.

Personnellement je bois très rarement. Pourtant j'aime ça, mais sans en éprouver le moindre besoin. Je n'y pense même pas au quotidien .

Quelques verres de porto ou de martini, à l'occasion, mais toujours en compagnie (ou alors très très très rare et immense déprime, une unique occurence...), et de toute façon cela ne me fait que peu. J'ai déjà vidé plus d'une demi bouteille de porto sans effet notable. -En général néanmoins je m'arrête, satisfait, vers le deux ou troisième verre.

D'ailleurs je répugne fondamentalement à l'idée d'abdiquer le contrôle de mes actes. Perdre toute acuité intellectuelle, devenir vulnérable, je ne pourrais jamais l'admettre. Et puis, il serait proprement ridicule de s'entrainer tant aux arts martiaux pour se faire briser par le premier venu après quelques verres...




Une anecdote avec un ivrogne ?

Il y a quelques semaines je revenais nuitamment de soirée, arborant sous mon imper bleu nuit le costume gris de circonstance, quand un ours passablement éméché se pique de me raccompagner. Pour lui, c'est évident, je suis "un magicien", et il faut absolument que je lui fasse un miracle, faute de quoi il ne me lâchera pas.
Commençant à trouver le drôle encombrant, d'autant que dans ce quartier très "fréquenté" il commençait à ameuter des congénères, je tente un dernier truc avant d'envisager l'option "je le plie dans la poubelle et on n'en parle plus".
Je sors une carte de visite, et comptant sur mon long passé d'illusionniste, je la fais disparaitre d'un claquement de doigt, pour la "ceuillir" dans les airs un peu plus loin.
Mon solliciteur s'arrête net, répétant d'un air hébété en tirant un sien ami par la manche "c'est un magicien, c'est un magicien", et reste planté là lors que je poursuis ma route.

J'aurais bien aimé être là à son réveil, par contre. Croyait-il encore réellement avoir assisté "à un miracle" ?

...

J'arrete l'alcool sans raisons
Boir un peu pour les fête sa passe
mais c'est tout

L'alcool est pour moi comme un motivateur. Je fais ce dont j'ai envie, tant que ça ne pose pas problème. Je le fais avec davantage d'enthousiasme...
Mais ça ne change pas grand chose à ma façon de penser... et je suis encore plus disposé à dire des vérités gênantes que d'habitude.

Prudes, l'alcool me change en danger public, quand aux autres, pas tant de différence en fait... et je ne regrette jamais rien de ce que j'ai pu faire

Je bois un verre de vin chez moi, de temps en temps mais jamais pendant les fêtes à l'extérieur. Cela ne me fait rien, je n'en ai pas besoin pour m'éclater.

Le Gentilhomme a écrit:

D'ailleurs je répugne fondamentalement à l'idée d'abdiquer le contrôle de mes actes. Perdre toute acuité intellectuelle, devenir vulnérable, je ne pourrais jamais l'admettre.

Il me semble que c'est Balzac dont Baudelaire avait écris un refus de perdre ses moyens avec le hashish (effet immédiat alors qu'une grande consommation d'alcool est nécéssaire pour être totalement à côté... )/
Balzac aurait peut-être pu écrire ceci, Gentilhomme.

Chère Kirjava, je ne peux qu'être flatté de la comparaison. Mais bon, chez un Balzac, il y aurait aussi la façon de le dire...

Je n'ai pas lu Balzac, bien que je songe à m'y plonger.
Je pourrais ainsi peut-être modeler cela, collant à l'image de Balzac.
Mais d'abord, vérification que ça soit bien de Balzac dont Baudelaire parlait (bien que je ne vois pas de qui d'autres.)