| | Aubepine Duroncier | |
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+3Azariah Comte de la Rose Noire Gabriel 7 participants | Auteur | Message |
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Gabriel Par dela le bien et le mal
Nombre de messages : 130 Age : 51 Localisation : Quaregnon, Belgique Date d'inscription : 28/02/2007
| Sujet: Aubepine Duroncier Dim 15 Avr - 10:36 | |
| J'aimerais avoir votre avis sur ce texte.
*** REPAS FROID ***
Le monde est mort sans qu’on le sache plus que pas d’ombres sur les marches Les détritus volent et tombent Dans le silence soufflant des tombes Et dans les rues sifflent et claquent De vraies affiches, de fausses marques Partout que lampadaire éteint par ce vent froid qui n’étreint rien et sur les pavés qui soupirent usés, lustrés, notre avenir | |
| | | Gabriel Par dela le bien et le mal
Nombre de messages : 130 Age : 51 Localisation : Quaregnon, Belgique Date d'inscription : 28/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Mar 17 Avr - 0:05 | |
| Et celui-ci engendrera-t-il quelque avis?
*** NECROMANTE ***
Couchée avec la mort j'ai bu son souffle humide qui pénétrait mes reins de ses relents putrides et j'ai léché ses doigts aux relents d'os jaunis m'a fait dressé les seins et ma peau dans sa suie Je l'ai laissé glisser, au fond de moi, saillante son cartilage épais, de ses ongles, assaillante et caressé désir du calcique thorax qui m'a fait jouir encore et mordre le climax Au creux de ses yeux vides j'ai promené mes mains caressé leur abîme, prenaient vie dans les miens et l'orgasme montant, ses dents noircies d'amour en filets verts et gris laissaient à leur parcours l'excitation jouissive qui m'enfonçait charnelle couchée dans ce cercueil et me glissait en elle et mon souffle accélère, mouvement convulsif soudain me manque d'air à tel plaisir jouissif et figé sur un rire imbécile et moqueur mon crâne à son image, se teinte à sa couleur | |
| | | Comte de la Rose Noire Comte Vampire
Nombre de messages : 3099 Age : 33 Localisation : Caen Date d'inscription : 20/06/2006
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Mar 17 Avr - 14:30 | |
| Je vais tenter de faire une critique rapide du second, je suis pris dans l'urgence du lycée...
La répétition de "relents" me paraît maladroite. Le quatrième vers me semble mal inséré grammaticalement, mais ma lecture est peut-être trop rapide. En fait, il semble y avoir beaucoup de morceaux de propositions insérés sans véritable logique. C'est beau, certes, mais ça enlève du sens. Sinon, j'ai du mal avec le mot "Climax".
Navré, j'aurais dû mieux faire, mais comme je le'ai dit, je suis pris dans l'urgence. | |
| | | Azariah Vampire radioactif
Nombre de messages : 3546 Age : 37 Localisation : Proche l'hôpital, très proche... Date d'inscription : 08/11/2006
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Mar 17 Avr - 14:32 | |
| Je ne touche pas à la construction, ce n'est pas monde domaine, cependant je suis faciné par le sujet, je n'ai pas vu beaucoup d'écrit sur les sujet encore... ça fait plaisir | |
| | | Gabriel Par dela le bien et le mal
Nombre de messages : 130 Age : 51 Localisation : Quaregnon, Belgique Date d'inscription : 28/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Mar 17 Avr - 20:41 | |
| Merci pour ces premières reactions. J'espère qu'il y en aura d'autres. N'hésitez pas même si vous n'aimez pas. L'auteur ne fréquente pas ce forum et ne sera pas blessée . J'essaye en soumettant ces textes ici de me rendre compte de l'impact de la poésie d'Aubépine sur d'autres sensibilités que la mienne. Je préfère ne pas dire ce que j'en pense personnellement pour ne pas influencer vos réactions. - Citation :
- Sinon, j'ai du mal avec le mot "Climax".
Les termes scientifiques touchant à la biologie sont assez nombreux dans son oeuvre. Dans ce cas çi j'ai aussi tiqué sur le mot qui sonne étrangement. Je lui signalerai. - Citation :
- La répétition de "relents" me paraît maladroite.
Je ne l'avais même pas remarqué. Merci. Je lui signalerai aussi. | |
| | | SR Nébuleuse Nitroglycérine
Nombre de messages : 3047 Age : 33 Localisation : Lille Date d'inscription : 13/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Mer 18 Avr - 13:39 | |
| "Repas froid" ne me dit rien, je me vois donc dans l'incapacité de le commenter.
En revanche, "Nécromante" est très cru mais intéressant, il me plait. Je suis d'accord avec les critiques du Comte. Je rajouterais la rime "saillante"_"assaillante", un peu trop lourde à mon gout. La ponctuation me gêne également. Cependant, j'apprécie les "morceaux de propositions insérés sans véritable logique", excepté le quatrième vers. Effectivement, Aubépine Duroncier use (trop ?) souvent de cette pirouette de style, du moins dans ce poème ; est-ce le cas dans d'autres ? | |
| | | Gabriel Par dela le bien et le mal
Nombre de messages : 130 Age : 51 Localisation : Quaregnon, Belgique Date d'inscription : 28/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Mer 18 Avr - 23:30 | |
| - Citation :
- est-ce le cas dans d'autres ?
Oui, elle malmène souvent la logique gramaticale dans ses textes les plus violents, mais pas toujours. - Citation :
- Je rajouterais la rime "saillante"_"assaillante", un peu trop lourde à mon gout
D'accord avec toi, c'est la même éthimologie, donc c'est une maladresse. Et maintenant que diriez-vous de celui-ci? *** Ballet nocturne *** Le pied d’une sorcière a frappé de sa ronde et mangé l’herbe noire de ses ongles terreux Et sa tête et son rire ont dansé les secondes ont grincé les minutes et maudits les heureux Ses cheveux la suivant s’emmêlant, s’enchevêtrent et semblent prendre vie à mesure que la lune monte et dévoile l’heure qu’elle, de tout son être attend et ses haillons tressés d’obscures runes s’animent et soulèvent en marais ces squelettes qui s’agitent en jouant de macabres errements et découvre blanchi le passé de ses fêtes que vomit par endroit de sombres ornements et les myriades sombres d’insectes, d’animaux comme attirés partout ne cessent plus de bruir autour d’elle et lui font de leurs corps, un manteau grouillant de vie, leurs pattes au chant de ses soupirs monticule de chair s’étouffe et s’orne d’elle mais leur chitine éclate, aile déchirée, se rompt les nuées de cadavres lentement s’amoncellent et quand la masse informe s’effondre sur elle-même il n’y a plus qu’un rond, de colchique qui blême se repaît en poussant pareil aux liserons et plus rien de la femme, dans ces ombres figées qu'un tronc d’arbre noirci par les ronces rongées | |
| | | SR Nébuleuse Nitroglycérine
Nombre de messages : 3047 Age : 33 Localisation : Lille Date d'inscription : 13/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Jeu 19 Avr - 14:25 | |
| La ponctuation me dérange vraiment... Ce n'est que subjectif, évidemment ; j'ai toujours préféré les phrases courtes et claires. Les sonorités du dernier vers : tronc_ronces rongées. (Toujours aussi subjectif. Je sais qu'il s'agit d'un effet de style, mais rien que lire ce vers silencieusement "dans la tête" me donne une crampe à la mâchoire. Il faudrait pourtant m'y habituer car de nombreux poètes l'emploient...) Sinon, quelques vers qui m'ont charmée : - Les quatre premiers, j'adore ! Je les relirai souvent. - Pour le rythme, surtout les contre-rejets (ah, que j'aime ce "qu'elle, de tout son être / attend"...) : [...] à mesure que la lune monte et dévoile l’heure qu’elle, de tout son être attend [...]- Encore pour le rythme : monticule de chair s’étouffe et s’orne d’elle mais leur chitine éclate, aile déchirée, se rompt les nuées de cadavres lentement s’amoncellentEt si je puis faire un petit racontage de vie : Les colchiques me rappellent un poème d'Apollinaire qui m'avait déplu. Ce sont des fleurs que j'ai désormais définitivement bannies de mon oreille... Cela est frustrant, j'aurais surement mieux apprécié ce Ballet Nocturne sans cette connotation personnelle. | |
| | | Datura Fantôme
Nombre de messages : 4 Age : 40 Date d'inscription : 24/05/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Jeu 24 Mai - 17:49 | |
| Merci Mizan de m'avoir exposée ici, je ne sais pas si tu as appris : je suis morte il y a trois jours et on doit m'enterrer demain. (mais c'était une belle histoire...). J'espère que tu viendras à mon enterrement... c'est un moment important et ça me toucherait vraiment... C'est sûr qu'internet me manquera et les sombres romances tout autant... quelle belle alliance devant tant de futilité ; la beauté sombre... la folie de croire qu'elle existe... la technologie et la plume qui s'allient enfin pour ne pas s'aliéner à notre méprisable approche de la beauté...
le spleen est une belle connerie qui nous touche pour nous brûler.. comme cet homme mort dans un camion frigorifique et présentant tous les symptomes d'un décès par hypothermie alors que la clim' était éteinte...
la noirceur n'est peut être pas lumière... mais on crève d'y croire... mon dieu que c'est beau... c'est beau d'y croire à tant de laideur irréel...
dessine moi un mouton...derrière les carcasses de viandes pendues aux crochets... croit que dieu existe derrière les néons qui nous glacent les veines... ça sent la mort, dis ça sent bon les herbes folles ?
Les plumes qui doucement vole et qu'on caresse pour ne se frôler que nous même. Le plaisir d'exister ou de croire que l'on existe...
les plumes de corbeaux... derrière les rangs qui se pourrissent... dis moi, ça m'exite...
Je vous embrasse du fond du coeur en partageant avec vous autant de laideur que je pourrais mais tellement moins que le monde offre à notre regard qui se purule d'aimer.
je vous embrasse du fond du coeur et du fond du coeur je vous noie tous avec mon sang
adieu | |
| | | Gabriel Par dela le bien et le mal
Nombre de messages : 130 Age : 51 Localisation : Quaregnon, Belgique Date d'inscription : 28/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Ven 25 Mai - 0:17 | |
| ...
La poésie est morte... griffez la terre, ombres aux yeux de folie ! Levez vous légions ! La poésie est morte ! Laissons nos vers se repaître de sa lie aux remugles de son tombeau nous serons les violeurs d'un coffre vide où la vierge tant de fois couchée ne sera que le gode, objet de nos désirs...
...
Aube, tu avais raison... Aube avait raison. la poésie est morte. | |
| | | SR Nébuleuse Nitroglycérine
Nombre de messages : 3047 Age : 33 Localisation : Lille Date d'inscription : 13/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Ven 25 Mai - 9:17 | |
| Non !, la poésie n'est pas morte. Elle somnole tranquillement, attendant qu'on la réveille - que nous la réveillions. Elle se tapit en chacun de nous, le tout est de savoir lui ouvrir les portes de notre cœur, et celles de notre esprit qui regorge de mots pourtant bien vivants. La Poésie se croise n'importe où et partout. Au détour d'une rue, un enfant offrant son dernier biscuit à son petit frère ; l'envol d'un frêle oiseau après une guérison désespérée ; le cercle huileux et dansant d’un chocolat trempé dans du café ; le premier regard d’un coup de foudre paralysant ; l’ultime nœud d’une brodeuse acharnée ; l'unique rayon de soleil perçant un inquiétant nuage ; la légère pluie soulageant des mois d’aridité ; le sourire hésitant d’un nouveau-né ; ou un simple «Je t’aime» qui aurait souffert l’agonie d’une trop longue absence... [...] | |
| | | Datura Fantôme
Nombre de messages : 4 Age : 40 Date d'inscription : 24/05/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Ven 28 Sep - 5:00 | |
| Le bout d'une histoire d'une dizaine de poèmes....
**** Figure de proue
Lanterneront les flibustiers, lorsque leurs yeux de verre brisé se poseront amer et froids, crachat de mer giflant leur voix, sur ton visage. Pirate osseux aux doigts noueux, et cuir usé serre dans sa main, crochet de chair veiné de bois et de fumée l'image qui douce n'a pas connu les hurlements de ces regards qui loin s'ennoient, et pour toujours vibrent la nuit de leurs mémoires. Le vent, balaye mais ne s'oublie le mouvement des bras qui veulent toucher le ciel mais ne font que griffer la pluie en se mourrant. La brume a déjà ravalé le port, si loin déjà j'ai le souvenir d'un regard mort, photos jaunies où je me noie comme au passé de ces soupirs ou au présent de ces passions je n'ai plus rien à retenir, rien, plus que d'aveugles visions et les ombres noires flottent, battant la tempête obscure tangue et tapent les vagues et saigne à ma figure la déchirante plainte d'un bateau qui m'emmène aussi loin que j'ai force de croiser les sirènes de heurter les récifs, de me tuer de leurs chants pour trouver ton regard sur cette proue de bois blanc
**** Noyade
Cheveux des algues, cadavre moi je glissent sous ces doigts perdus. Et s’enchevêtre et me dissous A l’eau qui s’enfonce et balance en ricanant Mon corps perdu, le sable qui grince à mes dents Rouleau bascule m’arrache au creux de ses yeux morts Coquille vide, gonflée qui vibre au vent du nord Crâne et rocher rongés de sel humide et gras Mordu d’anémone et me mène entre ses bras
*** [...] Glacé recueil
et les lèvres de sa bien aimée, tendrement sur ses os rongés ont glissé sur ses joues, longées de cartilage épais et mou, plongé. Sous ses cheveux découvre et morde. Entre ses dents nacré, la chair Entre ses mains découvre et torde. Pour oublier un peu le clair de ses yeux pâles ou la lune a laissé le phare à ses cyclopes avalé sous le regard froid. Mangé l'amour au vague écope et tourbillon la mer, battant, sur le tissu salé, humide entre les vers, et le courant, couru de crabe aux voeux avides elle a glissé près de son coeur ce qui faisait battre le sien et à repris à l'océan le peu qui ne sera plus rien et ses murmure sur la peau fine qui ne résiste à la passion des vagues ont remis de l'abîme dans ses secrètes confessions pour qu'il ne reste du visage qu'elle a brisé entre ses mains qu'un sourire mort et créophage qu'elle avait elle le lendemain
**** La baudroie
Regarde. Œil laiteux, disque noir, corps ébène et osseux, sa mâchoire fend son sourire en lames, où tapis, ses crochets, cartilage amer au froid de ces rochers, lacèrent en coutures et referment le vide de sa peau noire ébène et d’entrailles avides. Se cèlent, barbelés, l’abîme et les viscères du monstre qui agite, devant, cette lumière. Quand passe un faible trait qui d’argent n’est qu’un vœux,] par ses nageoires, tourbillon n’est que vase à ses yeux et brusque s’ouvrent alors un sillon. Est happé son corps par le gouffre, sans pouvoir échapper à sa vie qui s’achève. Retombent en mourant les vestiges d’un rire maquillé de courant et se clôture alors à nouveau la prison, d’où elle agite encore et encore le tison. La vase lentement retombe et fine masque toujours mieux la chair et la peau flasque, d’où ne naît plus qu’un phare au milieu du récif Il est déjà trop tard, nos rêves entre ses griffes où nos questions ne font qu’enterrer le mystère dont on ne voit plus rien que sa propre lumière | |
| | | Gabriel Par dela le bien et le mal
Nombre de messages : 130 Age : 51 Localisation : Quaregnon, Belgique Date d'inscription : 28/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Ven 28 Sep - 16:09 | |
| C'est toujours un plaisir de te relire. Sur lespoetes.net "L'ogre rouge" est magnifique aussi. Que reprenne l'agonie, petite tricheuse. Mais qui touchera l'idéal en premier? | |
| | | Datura Fantôme
Nombre de messages : 4 Age : 40 Date d'inscription : 24/05/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Jeu 10 Jan - 7:26 | |
| Il faut croire que c'est toi qui l'a touché en premier | |
| | | Gabriel Par dela le bien et le mal
Nombre de messages : 130 Age : 51 Localisation : Quaregnon, Belgique Date d'inscription : 28/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Ven 8 Fév - 7:11 | |
| Le mien, sans doute, oui. Le nôtre à tous, ici, tu le chercheras et l'écriras pour moi, Grande soeur.
...trois pas vers la lune...et retomber d'un coup sec...avec toujours cette même chanson... cette même dislocation de mes vertebres... | |
| | | SR Nébuleuse Nitroglycérine
Nombre de messages : 3047 Age : 33 Localisation : Lille Date d'inscription : 13/02/2007
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Ven 8 Fév - 7:16 | |
| - Mizan a écrit:
- cette même dislocation de mes vertebres...
... Parce que la Poésie serait-elle un baume immortel ?... | |
| | | Lola Elfe
Nombre de messages : 31 Age : 36 Localisation : Lyon et Caen Date d'inscription : 30/01/2008
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Sam 9 Fév - 18:32 | |
| La poésie est avant tout le baume des mortels, avant d'âtre un baume immortel. Nous ne pouvons connaitre l'immortalité, la poésie la connait, mais elle vient de nous. | |
| | | Sacha Novart Ombre
Nombre de messages : 5 Localisation : Rennes Date d'inscription : 01/03/2010
| Sujet: Re: Aubepine Duroncier Lun 1 Mar - 4:59 | |
| - Gabriel a écrit:
- J'aimerais avoir votre avis sur ce texte.
*** REPAS FROID ***
Le monde est mort sans qu’on le sache plus que pas d’ombres sur les marches Les détritus volent et tombent Dans le silence soufflant des tombes Et dans les rues sifflent et claquent De vraies affiches, de fausses marques Partout que lampadaire éteint par ce vent froid qui n’étreint rien et sur les pavés qui soupirent usés, lustrés, notre avenir J'ai découvert Aubépine il y a quelque temps. C'est comme la peinture contemporaine. J'adore ou je déteste. Dans son cas, j'adore. Bien sur, on peut critiquer, et certains trouveront à redire sur telle ou telle figure de style ou grammaticale... mais l'important, à mes yeux, est de "vivre" le texte pleinement. Il n'en reste pas moins qu'elle a un style puissant, décoiffant, trash, et unique en son genre. D'ailleurs, si elle a été primée pour la première fois à l'âge de 14 ans, ce n'est surement pas pour rien.
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| Sujet: Re: Aubepine Duroncier | |
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| | | | Aubepine Duroncier | |
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