Votre plus belle amour

Dites tout ce que vous voulez sur un amour que vous aviez connu ou que vous connaissez à l'instant.

Hum un joli sujet plein de romantisme et de passion.

J'ai surtout vécu des amours brefs et passionnels, le genre d'amour intense qui fanne en quelques mois ou qui n'existe que dans un seul sens. Je vais plutôt laisser les autres dévoiler leur coeur.

idem, feux de paille et sens uniques...
comme c'est regrettable

Azariah a écrit:

idem, feux de paille et sens uniques...
comme c'est regrettable

Bah, bah, bah, et maintenant ?
Rhôôô.



Mes plus belles histoires d'amour...
Celle qui a duré le plus longtemps. Toute une enfance. Très chaotique Du "je t'aime, moi non plus" pendant environ dix ans.
Celle qui m'a tiré d'une période peu glorieuse... Elle n'a tenu qu'un bref instant mais j'en garde un souvenir merveilleux. Le meilleur si l'on excepte
Celle de maintenant. La plus fôlle, l'insensée. Le rêêêêve éveillé, comme on dit.

Ah, si j'avais deux histoires d'amour à retenir jsuqu'à maintenant, ce ne serait pas difficile de choisir.

La première serait une courte histoire de trois semaines avec une certaine C., il y a un an et trois mois aujourd'hui, qui m'a très profondément marqué, voire traumatisé, et à laquelle je pense, à ma grande honte, encore très souvent. Malgré tous mes poèmeqs sur cette histoire, je ne saurais tellement la décrire, à part peut-êtrepar une phrase: "Chaque seconde était comme volée au paradis". Mais apparemment, malgré tous les mots qu'elle a pu me souffler, c'était à sens unique. J'ai totalement perdu les pédales après qu'elle m'ait quitté. J'étais prêt à tout lui offrir, à tout lui conquérir. L'amour étant le pilier qui me soutient, je me sentais trahi et ébranlé au plus profond de moi-même, alors que je ne voulais que son bien, et en même temps...j'étais comblé. Cette histoire était pure de toute amertume, malgré les préceptes que je m'étais forgés. Bien sûr, il y avait d'autres problèmes à côté, mais celui-là était intact, et rien ne pourra le réparer. Bref, ça m'a totalement brisé le coeur, déchiré l'âme, torturé l'esprit jsuqu'à la folie, tout ce que vous voulez, mais ce n'était pas beau à voir. Ca n'a pas fini de faire pleurer de l'encre, j'ai l'impression (et pas que de l'encre...).

La deuxième histoire est bien plus belle, puisque je la vis en ce moment, et que la fin ne se présage pas. Si je devais comparer, elle est d'une égale force à la précédente, sauf que cette fois la jolie dame reste à mes côtés. Dire qu'elle était chez moi il y a deux jours... Je n'en reviens toujours pas. Une histoire folle, insensée, mais qui pourrait bien être grande. Par contre, ce qui est atroce, c'est le manque...

Tiens, je me demandais si, quelque part, la souffrance ne renforcait pas l'amour... Si on se souvient mieux des histoires qui nous ont détruits ou de celles qui nous ont rendus heureux...
J'ai tendance à zapper l'amour cité en deuxième, alors que je me souviens de la passion qui m'a bousillé, et, paradoxalement, réparé le coeur... Elle n'a pas duré, mais sans elle je ne sais pas où je serais aujourd'hui. Un bonheur qui n'a jamais été égalé tant le contraste était bouleversant. Et pourtant, c'est comme si elle ne comptait finalement pas.
Pourquoi on passe notre temps à penser à ce qui nous fait mal plutôt qu'à construire un bonheur sur... Pourquoi la douleur nous marque plus.

Peut être parce que l'on accepte plus difficilement notre bonheur que notre malheur.

J'ai remarqué cela dans mon entourage, certaines personnes ont du mal à voir qu'ils sont heureux, ils ont besoin du malheur pour s'en rendre compte... et souvent se complaisent dans ce malheur même si ils s'en plaignent...

Oups, je vais faire hors topic si je continue...

Continue, à mon avis on réussira à revenir sur le sujet.
Et puis, d'une certaine manière, ca y reste, non ? J'ai remarqué que souvent l'amour intensifiait le bonheur et le malheur...

Complaisance dans le malheur, oui... Il y en a aussi qui ont l'impression de ne pas mériter le bonheur qu'ils ont, ils choisissent donc (consciemment ou pas) de se "punir" et de tout faire pour détruire ce bien-être...

Sparkling Romance a écrit:

Complaisance dans le malheur, oui... Il y en a aussi qui ont l'impression de ne pas mériter le bonheur qu'ils ont, ils choisissent donc (consciemment ou pas) de se "punir" et de tout faire pour détruire ce bien-être...

Oui c'est tout à fait vrai. Dans la vie quotidienne comme en amour je pense.

Je suis entièrement d'accord avec Sparkling. Premièrement, on peut inconsciemment bousiller ce que l'on a de plus cher dans le but de "rééquilibrer" son existence, et deuxièmement, on retient beaucoup plus aisément ce qui a fait mal, parce que l'homme (et c'est prouvé) est une machine à retenir le négatif. C'est un être destiné à se perfectionner, à apprendre de ses erreurs. Se souvenir de ce qui fait mal permet de se rappeler de ses échecs. Il n'y a aucun intérêt à se souvenir de ce qui est positif, car cela n'aide pas à s'améliorer.

Au-delà de ça, il y a les vrais traumatismes, qui empêchent toute amélioration tant la souffrance a été forte.

Mais tout cela est-il vraiment juste ? L' "équilibre" n'est-il pas qu'une illusion destructrice, ne nous faisons-nous pas du mal pour rien en ne retenant que la douleur, et les traumatismes ne se surmontent-ils pas ?

Je ne sais pas. Je me dis que tout s'avérerait tellement plus simple si on vivait avec plus de légèreté, avec bonheur. Et pourtant, je ne peux pas m'empêcher de m'arrêter sur ce qui me fait souffrir.
Ce doit être humain.

L'amour est quelque chose de très beau mais quand sa se fini, c'est des fois très dur à endurer.

L'amour est le plus beau des meurtriers...

Mon plus bel amour est celui qui dure depuis 4 mois à présent et tend à perdurer encore et toujours, pour mon plus grand bonheur. J'ai enfin trouvé celui que je cherchais depuis toutes ces années. Un homme en qui je peux me reconnaître et qui me complète parfaitement.

ben....mon plus bel amour ce sont ce sont mes parents qui me l'apporte...

Pour ma part mon plus bel amour, c'est celui que je viens de perdre, il n'a été entaché par aucune dispute, contrariété, différent...rien du début...à la fin, parfait, l'imperfection la dedans c'est le fait que ça se soit finit justement.

Mon plus bel amour (qui a dit "le seul" !? ), c'est celui que je vis actuellement ! Et ouiii !

Pour la grèce antique, il y avait 3 amour : l’éros, la philia, et l’agapê. L'amour du coeur, du cerveau et celui du sexe.
Le plus bel amour, c'est quand les trois sont réunis, non ?

Gaya a écrit:

Mon plus bel amour (qui a dit "le seul" !? ), c'est celui que je vis actuellement ! Et ouiii !

Ca alors, moi aussi ! Mais quelle coïncidence !

Bref, je ne sais même pas quoi ajouter...

*resort*

mouais...disons que c'est le seul sensé être indefectible...

J'ai eu la chance de recevoir beaucoup d'amour de la part de ma mère et de mon père. Je dis bien la chance, car même si ça devrait être naturel d'aimer ses enfants, il semblerait que tout le monde n'ai pu bénéficier de l'amour de ses parents.

Il y a un topic similaire, me semble-t-il, non ? Nommé "Votre plus belle amour".

J'aime bien la phrase de Belphégor car je la trouve très réelle. L'amour pour moi a un côté meurtrier comme le dit si bien Belphégor.
L'amour est un poison. Sortant de l'abîme ou venant des astres.
L'amour peut causer le plus grand bonheur ou les plus fou désastres.
Venant de Satan ou de Dieu qu'importe.
Il se veut de venir frapper à notre porte.
Pour nous ensorceler.
Pour nous condamner.