[Poèmes] Zack

Désespoir

Elle a les yeux rivés au dehors,
Le cœur qui bat lentement.
Son souffle froid, les dents sur le métal,
Elle attend encore un peu, juste un peu…

Elle veut s’enfuir loin d’ici,
Loin de tout ce qui fait de ce monde
Son monde … interdit
Mais elle attend…encore…

Elle est abandonnée en proie à l’agonie,
Elle est laissée, ici,…elle veut être oubliée.
Elle divague et pense à tant de chose,
…Juste une dernière fois…

Elle s’imagine dans une des chambres,
Elle tourne, tourne, à en vomir, elle attend…
Prête à exploser, pour ainsi être oubliée.
…Mais elle veut attendre, encore un peu…

Les tours, les clics, ses mouvements,
Tout s’enchaîne, mais rien…
Elle n’y croit pas et ne comprend pas,
…Peut-être n’est-ce toujours pas le moment…

Elle attend, là en suspend,
Elle compte encore et encore.

Les tours, les clics, ses mouvements,
Tout s’enchaîne, … !

…

« Son souffle s’éteint,
Tout est ainsi fini.
Elle avait ce pouvoir en ses mains,
Celui d’être, sans aucun interdit… »


Bon il est moins bien que l'autre. Enfin voilà je vous le montre

PS:( Dites moi si il y a encore des fautes, j'ai beaucoup de mal à me corriger )

Il est joli aussi. Peut être moins fort que l'autre, mais il est bien qd même.
Je n'ai pas vu de fautes.

c'est drole que tu t'inquietes qu'on comprenne ou non de quoi tu parles.
personne ne comprends JAMAIS ce que j'ecris
et ça m'est egal,
comme dit la chanson "j'ecris comme on purgerait des viperes"
ça sort de moi, ça n'est plus dedans.
therapie par l'ecriture.
je ne sais pas.
mais je sais que ça me fait autant de bien que de mal
mais me demander si quelqu'un peut comprendre ce que j'ecris ou ressens quand je vide mon sang de tout ça...

L’ange de lumière
Pleur sa défunte et tant aimé
Sous les larmes du ciel
Sa vie fut à jamais en terré

Comme un couvercle sur le monde
Il l’à couvre de ses ailes maudites.
Son étincelle s’éteint peu à peu
Noyé dans l’ombre de sa propre agonie.

Sa plus grande force n’est plus qu’anémie.
Le ciel joue son plus beau requiem
Et accompagne l’affliction de l’être ailé

Prisonnier de sa faiblesse
Il reste là à pleurer
Rester pour l’éternité
Une éternité pour oublier.



Voilà j'ai écris ça ce matin...

j'aime beaucoup...

Très beau...

Magnifique...

Ce texte me chavire...
Je ne ressens plus rien...

Merci à tous

Que dire , je ne sais comment décrire se que je ressent.
Une chose est sur c'est magnifique, j'aime beaucoup.

...Et ensuite tu me laisses un commentaire comm quoi tu aimes mes textes...
Ils sont bien ridicules devant la beauté de tes ecrits...
magnifique...

Sérieusement LiLiTh j'aime bien t'a façon d'écrire.
Ce texte je le trouve inférieur aux autre, surtout celui sur la personnification, enfin bon voilà. En tout cas merci ça me fait plaisir ...

J'ai beaucoup aimé le premier, même sans réussir à en dénouer l'intrigue à la première lecture. Je suis vraiment content d'être resté cinq minutes de plus sur le forum, et d'avoir cliqué, compulsivement, en lisant "[poêmes]"...

Rien à dire, sinon merci. Un poéme, c'est toujours une expérience...

LA VIERGE

La vierge marche de son pas le plus léger,
Sans que pour autant elle ne fût oubliée.
Vêtu de ses plus beaux atours d‘ébène et d’acier,
Les bras grand ouverts, attends l’être aimée.

Titubant, l’aimée s’approche de la vierge
Vêtu du plus simple appareil
La sueur perlant le long de ses courbes affolantes.
Le cœur battant comme jamais
Sous le regard de ceux qui la croit démente.

Sans que la vierge n’u bougée d’un cil,
Sa chaire et tendre avance d’un pas hésitant.
Sans trop savoir quoi faire,
Les membres toujours aussi branlants.

Le sol d’un froid hivernal,
Lui glace les membres inférieurs.
Ou ne serait-ce que la peur,
Qui entrave sa marche vers l’inéluctabilité.

Son cœur battant toujours plus fort,
Elle est prise d’une chaleur frénétique.
Comme bercé dans une douce folie,
Son corps est à l’agonie.

Le regard blême elle s’avance toujours plus,
Comme envouter par une douce mélodie.
Elle est portée corps et âmes,
Au sein de cette vierge et de son corps maudit.

La vierge referme alors son étreinte,
Dans un gémissement lyrique.
Liant ainsi son corps,
A celui de sa dame apathique.

Pénétré par sa dulcinée de toute part,
Elle laisse filer un soupir.
Ressentant ainsi la vierge,
Au plus profond de son être.

L’acte suprême consommé,
La vierge laisse ruisseler le long de ses jougs,
Des larmes de couleur écarlates.
Sans que ne ce fusse entendre le moindre bruit.

Mais qu’elle hérésie que voici…
Que cette lutte infâme
Entre la vierge de chaire
Et la vierge de fer.